Le laché de Didier Menras

Ce 30 août, journée de fin de saison plutôt maussade, le plafond faiblissait à 800m sol, couvrant notre espace d’évolution à 7/8. L’activité sur le terrain était faible, seuls quelques irréductibles demeuraient inlassablement sur la charrette du tractosaure.

Voilà trois mois que mes week-ends sont consacrés à ma formation planeur : 35 heures de vol, une quarantaine d’atterros.